L'encens de l'empereur : à la découverte de l'héritage parfumé du palais de Xianghe

Dans les grandes salles de la dynastie Song, l’encens était plus qu’un parfum : c’était un rituel de raffinement, de guérison et d’harmonie.
Parmi les formules les plus prisées de cette époque se trouvait le Jiangzhen Xiang (江真香), un mélange alchimique autrefois fabriqué à la main pour la cour impériale sous l'empereur Huizong, un souverain célèbre pour son génie artistique.

Chez Herimyst , nous faisons revivre cette ancienne formule dans une perle d'encens et une étiquette modernes, honorant son héritage tout en l'adaptant à un usage quotidien dans le monde d'aujourd'hui.


Un aperçu de l'histoire : l'empereur Huizong et sa cour parfumée

Huizong (règne : 1100-1125 apr. J.-C.), 8e empereur de la dynastie des Song du Nord, était calligraphe, peintre et passionné de parfums. Son époque fut marquée par une culture de l'encens florissante, alimentée par les routes commerciales mondiales des épices qui alimentaient Quanzhou, la plaque tournante maritime de la Chine.

Pour organiser les rituels de parfumerie de la cour, l'empereur a commandé un atelier spécial connu sous le nom de Pavillon Zaoxiang .
De cette chambre sont sorties des formules légendaires comme :

  • Encens impérial Xuanhe
  • Jiangzhen Xiang ( bois d'agar )
  • Encens doré de Wang Consort

Il ne s’agissait pas de simples parfums, mais d’expressions de puissance, de méditation et de maîtrise esthétique.


L'héritage de Jiangzhen Xiang

Jiangzhen Xiang doit son nom à son ingrédient principal : la rare liane Dalbergia odorifera . Lorsque la liane est blessée, elle exsude une résine pour se cicatriser ; cette résine durcie est ce que nous appelons jiangzhen . Historiquement, les pratiquants taoïstes la vénéraient comme une matière sacrée, capable d'« ancrer l'esprit ».

La formule originale, consignée dans les archives de Xuanhe , prévoyait :

30 taels de jiangzhen , macérés dans du thé et du vin, mélangés à du miel et des dattes rouges, et scellés dans des pots en porcelaine. Leur parfum était réputé « pur, lointain et transformateur ».


Notre métier : Sagesse traditionnelle, forme moderne

Chez Herimyst, nous adaptons cette formule historique en perles et médaillons d'encens , en utilisant :

  • Jiangzhen birman (résine de Dalbergia odorifera)
  • Encens, myrrhe, camphre de bornéol pour la clarté et l'ancrage
  • Traitement traditionnel : broyage à la pierre, pétrissage à la boue, séchage naturel et vieillissement à long terme

Il n'y a pas de parfums, de colorants ou de liants synthétiques.
Juste l'harmonie éprouvée d'ingrédients anciens, réinventée pour les rituels modernes.


Le profil aromatique : profond, complexe, réparateur

  • Note de tête : Un ton d'agrumes frais issu du bornéol et de l'encens
  • Note de cœur : Douceur douce du benjoin et des dattes rouges
  • Note de fond : Chaleur crémeuse et laiteuse de la résine de jiangzhen vieillie, ancrée dans le bois

Le résultat est méditatif et élégant , idéal à la fois pour l'encens portable et pour les environnements apaisants.


Un rituel moderne d'équilibre

Si cet encens était autrefois réservé à la royauté, ses qualités thérapeutiques sont universelles :

  • Focus matinal : Portez un bracelet de perles d'encens Jiangzhen pour commencer votre journée avec clarté
  • Ancrage de l'après-midi : Tenez le médaillon dans votre paume pendant le travail de respiration ou la méditation
  • Restauration du soir : Placer près de votre oreiller ou dans votre voiture pour inviter au calme

Dans un monde de stimulation artificielle, cette formule ancienne offre un retour naturel au calme.


« Ce qui parfumait autrefois les salles impériales soutient désormais votre équilibre quotidien. »

Herimyst relie la sagesse dynastique au bien-être moderne, un souffle à la fois.